Scribes
des Beaux Lacs, Écrivains publics, jamais vous n’userez autant de papier. Je
serai à Boulaq ce que ce vieillard en turban a été, il y a bientôt deux cent
ans de cela. C’est que je suis vieille, déjà, mais nul, ici, ne le sait.
Scribes de Boulaq, Écrivains publics, ne vous fiez pas à mon sourire, et à mon
humeur colorée : je garde l’empreinte de vos moindres idées.
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